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Le temps des croyances est passé


L’avenir est à la méthode scientifique, ouverte à la dimension spirituelle.

L'auteur

Georges Balachowsky



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"...Ainsi, la maladie a toujours son siège dans l’entendement humain sous forme de pensée, consciente et inconsciente, mais toujours délétère, et la guérison s’obtient en substituant à ces pensées maléfiques des idées positives, vivifiantes, pensées de Vérité et de Vie, qui assurent le fonctionnement harmonieux du corps et de l’entendement mortel souffrant..."


Le temps des croyances est passé.

 

Il est fini ce temps où le prêtre et le médecin répondaient à l’homme guéri « miraculeusement » ; « Il ne faut pas chercher à comprendre ! ». Les croyances – qu’elles soient religieuses ou scientifiques - ont fait leur temps.


L’avenir est à la méthode scientifique, ouverte à la dimension spirituelle. L’avenir est à la méthode scientifique, qui dégage les lois spirituelles présidant aux phénomènes jadis qualifiés de « miraculeux ». Et qui valide ses hypothèses par des démonstrations.



La méthode de la science, le but de la religion.


Dans cette optique « La méthode de la science, le but de la religion », des pionniers ont défriché le terrain. En s’appuyant sur l’œuvre de Mary Baker Eddy, Georges Balachowsky montre comment la religion et la science se donnent la main quand elles sont dégagées de leurs limitations respectives.

 

Libéré des préjugés du protestantisme américain qui grève souvent les textes consacrés à la science divine, le genevois Georges Balachowky expose avec rigueur les fondements intellectuels de la science divine :

     •     saint Augustin avait déjà montré que le mal n’avait pas d’être (il est absent du plan divin),

     •     de nombreux théologiens et philosophes avaient, bien avant la physique quantique, montré que la matière n’avait qu’un certain degré de réalité…

     •     en orient comme en occident ; les traditions spirituelles savent que le « moi » est l’ombre de l’identité véritable.



« Pour réussir dans l’œuvre de guérison, il vous faut vaincre vos propres craintes aussi bien que celles de vos patients, et parvenir à un état de conscience plus élevé et plus saint. »